Surfaces utiles
du 21 janvier au 5 février 2006
Catherine Rannou s’est inspirée de l’environnement pour envisager un dialogue, le temps d’une exposition, entre la chapelle et son milieu proche. Cette rencontre se produit entre les architectures symboliques dessinées sur la voûte des deux travées du cœur du monument et le quartier aux multiples facettes de Petit-Quevilly.
Catherine Rannou a constaté un décalage très fort entre le dedans et le dehors, à la fois au niveau architectural et les usages possibles du lieu d’exposition. C’est pourquoi, son travail tente de rapprocher ce qui est absent mais proche à la fois, et d’ouvrir le mur de pierre vers la vie contemporaine.
“Surfaces Utiles” est donc une référence aux programmes de construction et d’habitat. “Parler de surfaces utiles au sein d’une chapelle, c’est aussi dire la possibilité de recycler certains espaces, d’envisager de les transformer”.