du 13 décembre 2002 au 12 janvier 2003
L’air, la terre , le feu sont intimement reliés par la lumière. Lux tente de comprendre ce mystère en transperçant du regard les murs épais de la chapelle Saint-Julien.
Thierry Tran souhaite accompagner l’architecture intérieure de la chapelle avec la lumière, réintroduire du sacré et de la spiritualité sans être christique ou religieux.
Les moyens employés soulignent cette ambiguïté. Ils seront la lumière électrique, la photo, la terre et l’eau. la photo ramérera de « l’extérieur » de la chapelle en son « intérieur », signifiant ainsi l’air et sa transparence tout en soulignant son étrange environnement.